L’avis de la presse,
lors de la parution de la première édition,
chez Desclée de Brouwer, Paris, en 1956
Ce
petit livre à qui sa rareté confère une valeur de
pierre précieuse est en fait le travail littéraire
le plus intelligent qu'il ait été donné de voir
depuis fort longtemps.
J. CHAUMELY,
Demain,
13 mars 1957
Un recueil des textes comme celui qu'Armel Guerne
vient de publier est salué avec joie par tous ceux
qui pensent que le véritable romantisme ne mérite
pas de s'appeler français ou même anglais, mais
allemand.
Marcel SCHNEIDER,
Arts,
du 6 au 12 mars 1957
LE grand événement de cette fin d'année, dans le
domaine littéraire, ce n'est pas, comme on pourrait
le croire, les « prix », c'est la publication par M.
Armel GUERNE d'une très remarquable anthologie des
Romantiques Allemands.
Marcel BRION,
Le Concours médical,12
janvier 1957
Voici un des volumes les plus précieux que la
librairie française nous ait offert depuis
longtemps. Ce magnifique recueil n'est pas une
anthologie comme les autres et devra figurer dans
toutes les bonnes bibliothèques.
Jacques BRENNER,
Paris Normandie,
1er février 1957
Il était indispensable qu'une anthologie sérieuse
vienne donner une vue d'ensemble des romantiques
allemands. C'est à quoi tend ce choix, d'une belle
richesse. Les meilleures traductions sont de [A.
Guerne] ; celles de Hölderlin, entre autres,
sont admirables.
Alain BOSQUET,
Combat,
11 février 1957
Il fallait qu'un poète enfin s'en mêla ! Armel
Guerne prouve que les poètes sont seuls à pouvoir se
« mêler » justement de poésie. Les traductions
retenues sont pour la plupart remarquables. Celles
de Guerne lui-même (qui, le premier, nous a rendu
Hölderlin et le Moby Dick de Melville) sont
prestigieuses.
La Meuse, La Lanterne,Bruxelles
21/01/1957
Un livre, de temps à autre, nous reconduit aux
sources vives. Tel est celui de M. Armel Guerne.
Voilà ce qu'il faudrait nommer un acte de culture.
Max-Pol FOUCHET,
Carrefour,
6 février 1957
Un poète, Armel Guerne, chez qui l'érudition sert la
poésie diligemment et ne l'étouffe jamais, a
présidé, pour notre information et notre
enchantement, à un rassemblement de poètes.
Alexandre ARNOUX,
Les Lettres françaises, n° 676, du 20 au 26 juin
1957
Armel Guerne a fort bien réalisé son projet, il a su
rendre l'unité d'une époque, il nous en a donné les
œuvres marquantes, il a su trouver « la justesse du
ton et les valeurs de concordance », enfin il a fait
un livre qu'on aimera garder à portée de la main.
Clara MALRAUX,
L’Express,
15 mars 1957
Armel Guerne a fait un superbe travail de
littérature humaniste. Le Romantisme aujourd'hui
nous est donné lui-même dans ce qu'il a de célèbre
et d'inconnu, et avec une largesse qui vaut une
bibliothèque.
Georges SION,
Le Phare dimanche,
Bruxelles, 24 février 1957
Armel Guerne a rassemblé des textes exceptionnels.
J’y trouve une largeur de vue et un sens de
l’excellent qui l’ont également aidé dans cette
difficile tâche de choisir parmi une production
d’une extraordinaire abondance. Le choix a été fait
avec autant de science que de passion et de
goût.
Marcel BRION,
Le Monde
, 26 avril 1957
Voici un livre d’une grande richesse et d’une grande
nouveauté [qui] vient combler un grand vide
dans nos bibliothèques.
André ROUSSEAUX,
Le Figaro littéraire,
12 janvier 1957
L’avis de la presse,
lors de la réédition
Un monument d'érudition littéraire, établi et
présenté par Armel Guerne, poète aux accents
prophétiques.
Jean-François Revel, La Libre Belgique, 15
oct. 2004
C'est un monument, une bible. Ce recueil de textes
des romantique allemands, rassemblés et
remarquablement traduits par Armel Guerne, est une
mine de diamants. Les amateurs jubilent, les
nouveaux venus auront la chance de plonger dans ces
œuvres d'une harmonie parfaite. Un événement.
Christine Ferniot, Télérama (Rayon Poches),
n° 2861, 10 novembre 2004
Dans ce magnifique florilège, Guerne voulut donner à
entendre "le fabuleux océan verbal" qui déferla au
tournant des XVIIIe et XIX e siècles.
Patrick Kéchichian, Le Monde (Littératures),
vendredi 17 décembre 2004
Les traductions d'Armel Guerne révèlent, plus qu'un
texte, l'âme même de l'œuvre. Poète, traducteur
incomparable, notamment de Moby Dick, Armel Guerne
est aussi l'auteur d'un écrit sur le Romantisme,
L'Âme insurgée, paru chez Phébus. Le même éditeur
réédite aujourd'hui l'anthologie, publiée en 1963,
que Guerne a consacrée aux romantiques allemands.
C'est à un voyage aux sources du rêve que nous
sommes conviés. Toute une génération de prophètes et
de voyants s'offre à nous dans sa diversité. D'une
lecture passionnante, ouvrant les fenêtres sur le
rêve et le fantastique, cette somme est à placer au
rayon des œuvres rares.
Linda Lê, Le Magazine littéraire (Retour aux
classiques), janvier 2005
Pour les amis sinon les gourmands et ou les gourmets
de la littérature : voici un cadeau de choix. Un
livre qui fera date. Une somme qui enrichit l'esprit
et l'âme. Un magnifique travail éditorial dont il
faut mesurer l'ampleur et l'ambition. Un superbe
cadeau.
Antipode 105.5 FM Brabant wallon, 22 décembre 2004
Ce florilège, enfin à nouveau disponible, est unique
et incontournable tant pour sa richesse, que pour la
qualité exceptionnelle de ses traductions, et plus
particulièrement celles d'Armel Guerne et d'Albert
Béguin. Il ne peut que se trouver à la place
d'honneur dans votre bibliothèque.
Panorama du Livre, mars 2005
C'est l'instrument parfait, produit par le regretté
Armel Guerne, poète et traducteur d'une très grande
classe. Qu'on y coure, qu'on achète, qu'on lise !
Ici la poésie a d'emblée la priorité sur la théorie,
quoiqu'il soit bien difficile de séparer les deux
concernant les romantiques de Iéna.
Jacques Darras, Aujourd'hui poème, janvier
2005 |